Comment j’ai arrêté de fumer grâce à Buddy Deal

Chère Buddy,

J'aurais pu rédiger un article, Clara, mais j'ai finalement choisi d’apporter mon témoignage sous forme de lettre. Je tenais absolument à te remercier d’une manière personnelle pour ton soutien inconditionnel et l’énergie positive dont tu m’as inondé ces derniers mois.

Lorsque tu as commencé à me parler de la campagne de cessation tabagique Buddy Deal et que tu m’as glissé  "d’ailleurs, si tu cherches un Buddy…", je n’étais vraiment pas enthousiaste. J'avais déjà fait de nombreuses tentatives (timides) pour arrêter de fumer et je n'y croyais pas vraiment moi-même. De plus, me lancer au mois de mai ne m’arrangeait pas du tout, car ma femme (Gerda) et moi partions à New York pour une semaine. Je n’avais pas du tout envie de me morfondre durant ces vacances à rêver d’une cigarette. "Tu comprends, pas vrai? Peut-être l’année prochaine, alors?"

J'avais  grossièrement sous-estimé ta motivation. Bien sûr, tu as été très compréhensive sur l’aspect "départ en vacances". Mais tu n’as pas pour autant lâché le morceau… "Mais  bon, on peut commencer après ton voyage, 10 jours plus tard, c’est bien aussi! Le plus important, c’est que tu te sentes prêt. D’ailleurs, tu t’es déjà inscrit au webinaire?"  Parce que de ton côté, ni une, ni deux, tu t’étais déjà inscrite au webinaire destiné aux Buddies.

Après le webinaire, je t’ai expliqué comment je comptais m’y prendre : des patchs de nicotine, pour une réduction progressive, et des gommes de nicotine en cas de crise. Tu as trouvé que c’était une excellente idée et que j’allais certainement y arriver. Ton enthousiasme a été si contagieux que j’ai décidé en fin de compte de démarrer le 1^er mai. "Et New York, alors?", m’as-tu demandé inquiète. J’ai répondu "If I can make it there, I’ll make it everywhere". Ça a été mon déclic.

Le principe de la campagne Buddy Deal est d’arrêter de fumer durant le mois de mai. Pour m’y aider, tu as préparé 31 cartes, chacune avec un petit défi ludique à relever lorsque l’envie de fumer me démangeait trop. Consciencieusement, j’ai sorti une carte du paquet tous les matins, et chacune m’a fait sourire : Réciter l'alphabet à l'envers - Écrire un poème pour Gerda - Aller dire bonjour aux poules - Lire 3 pages au hasard de mon livre préféré - Feuilleter un vieil album photo – Résoudre une énigme…  

J’ai relevé tous tes défis (sauf celui où tu me proposais de danser) et, incroyable, mais… ça a vraiment marché. À chaque carte, ma motivation augmentait. Tu étais folle de joie quand je suis revenu de New York sans avoir craqué une seule fois et tu m’as dit que tu étais vraiment fière de moi. En réalité, ça a été bien plus simple que ce que j’imaginais. Il est vrai qu’il y a eu des moments difficiles, tout de même. En particulier lorsque j’ai perdu mon ordinateur portable. Dans le meilleur des cas, je l’avais laissé au bureau (ce que j’espérais) et dans le pire, je l’avais oublié dans le train. Et là, tu as été la meilleure Buddy du monde, car tu as sauté dans ta voiture pour aller au bureau vérifier si mon ordinateur y était (heureusement, c’était le cas). Tout ça parce que tu avais eu bien trop peur que je fume à cause du stress.

Tu m'as gâté, Clara. En mai, tu m'as fait un cadeau chaque semaine: un livre dont tu étais certaine qu’il me plairait, une bouteille de bon vin, toutes sortes de gourmandises (parfois faites maison)... Et après le mois de mai, tu es passée à une surprise mensuelle. Mais le meilleur cadeau est bien sûr ton soutien et tes encouragements inconditionnels. Sans toi, je n'aurais jamais réussi.

Aujourd'hui, après dix mois, je peux dire avec fierté que je suis non-fumeur.

Et tiens-toi bien! Je viens de lire sur Google que mon risque de maladie cardiovasculaire va diminuer de moitié après un an sans tabac. Nous avons parcouru un long chemin, de la meilleure des manières, car tu es le meilleur Buddy dont je pouvais rêver. Pour cela, je te serai éternellement reconnaissant.

Amicalement,

Sébastien

Vous vous demandez quelle a été l'expérience de Clara? Retrouvez son témoignage ici.